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Les pourparlers de paix entre les talibans et le Pakistan à Istanbul se sont achevés après quatre jours de négociations.
Des négociations qui ont été menées sous la médiation de la Turquie et du Qatar, avec la mise en place d’un mécanisme de surveillance et de sanctions en cas de violation.
Zabihullah Mujahid, porte-parole des talibans, a confirmé la fin des pourparlers et insisté sur la volonté des talibans de maintenir de bonnes relations avec le Pakistan. Sirajuddin Haqqani, ministre de l’Intérieur taliban, a conseillé au Pakistan de résoudre ses problèmes internes sur son propre territoire.

Le ministre pakistanais de la Défense, Khawaja Muhammad Asif, a rappelé que la principale exigence d’Islamabad est que les talibans empêchent toute attaque contre le Pakistan et ne soutiennent pas les insurgés, ce que les talibans ont rejeté.
Ces tensions ont entraîné la fermeture des points de passage frontaliers et l’arrêt du commerce, tandis que des millions de réfugiés afghans au Pakistan s’inquiètent des conséquences politiques.
Malgré le cessez-le-feu, la confiance entre les deux parties reste fragile et le risque de nouvelles tensions demeure élevé.

Opération policière à Rio de Janeiro : 132 morts.
Mercredi dernier, la police locale de Rio de Janeiro a mené une vaste opération contre les trafiquants de drogue. Au cours de l’affrontement avec les forces de l’ordre, au moins 132 personnes ont été tuées.
Selon des témoins, il s’agissait de l’une des opérations les plus sanglantes de l’histoire du Brésil, la police ayant fait un usage excessif de la force. Les agents auraient transporté les corps des trafiquants depuis la forêt jusqu’à la place dite Péñas. Le gouverneur Cláudio Castro a qualifié cette opération de « réussie ». Le président Lula, lui, se dit sidéré par la violence de l'attaque.

Plus de 100 morts, dont presque la moitié sont des enfants dans un bombardement israélien sur Gaza, mais rien ne compromet le cessez-le-feu selon Donald Trump. Mercredi dernier, le premier ministre israélien a ordonné un bombardement massif sur le territoire palestinien. Une réponse à l'attaque des soldats israéliens, attaques qui ont fait un mort, et aux difficile retour des 13 corps d'otages restant aux mains du Hamas. Le bilan des attaques est qualifié d'épouvantable par l'ONU. Israël, son côté, assure reprendre le cessez-le-feu. Les accords de paix tiennent toujours. Pour l'instant.

C’est une victoire pour les victimes, les associations, et pour la justice.
Le 23 octobre 2025, le Sénat a voté définitivement l’intégration du non-consentement dans la définition du viol..
Avant, une victime devait démontrer qu’il y avait eu violence, contrainte, menace ou surprise. Maintenant, c'est à l'accusé de prouver qu'en cas de rapport sexuel, son ou sa partenaire était d'accord.
Avec cette loi, la France s'aligne enfin sur les standards européens, notamment ceux de la Convention d’Istanbul.
Comme l’a souligné la sénatrice Dominique Vérien : « Le silence ne vaut pas consentement ».
Ce changement répond à une réalité : trop de femmes n’étaient pas reconnues comme victimes, parce que leur refus n’était pas “assez visible”.
En France, moins de 10% des femmes portent plainte après un viol et moins de 10% de ces plaintes aboutissent à une condamnation.

Et si, pour se faire entendre, certains avaient choisi une dégradation ?
Le 27 octobre 2025, un incendie volontaire a paralysé la ligne TGV Sud-Est, entre Lyon et Marseille.
Des câbles de signalisation ont été détruits, des milliers de voyageurs bloqués, et une enquête ouverte. Les enquêteurs privilégient une piste : celle d’un sabotage revendiqué par la mouvance d’ultragauche.
Parce que derrière l'acte de malveillance, il y a une lutte.
Une opposition à l’aménagement du territoire, à des projets jugés destructeurs, imposés, bétonnés.
Un autre incendie, survenu une heure plus tôt dans une carrière liée à un projet autoroutier, renforce cette hypothèse.
Le débat, lui, est lancé : jusqu’où peut-on aller pour défendre une cause urbaine ?

À Rennes, des familles et des enfants migrants passent leurs nuits dans les rues, les parcs et des hébergements temporaires. Selon les organisations humanitaires Utopia 56 et Amnesty International Rennes II, environ 100 personnes ont été expulsées d’un centre municipal et dans les parcs, près de 70 personnes, dont 50 enfants, vivent sous des tentes.
Un migrant raconte : «Le froid est insupportable et nous ne savons pas où dormir demain soir.»
Un responsable d’Utopia 56 ajoute : «Les aides sont limitées et sans coordination complète avec la mairie et la Préfecture, cette situation risque de perdurer.»
Les experts estiment qu’un soutien immédiat, un logement sécurisé et une prise en charge adaptée sont indispensables.

Et on félicite l’équipe nationale afghane de futsal des moins de 17 ans. Ils ont remporté une victoire historique en battant pour la première fois l’équipe d’Iran. C'était lors des Jeux asiatiques de la jeunesse 2025, sur le score de 2–1, se qualifiant ainsi pour la finale de la compétition. Ce match, très disputé, a fortement fait réagir sur les réseaux sociaux. Cette victoire est considérée comme une avancée sans précédent pour le futsal de base en Afghanistan, et comme un moment marquant dans l’histoire du sport du pays.