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Un peu de Shenseea, un peu de Nile Rodgers, un peu de Benjamin Ingrosso et enfin, un peu de Tino Piontek pour ce qui sera un tube !
Dorénavant, qui dit disco et même nu disco, dit forcément Purple Disco Machine, de son vrai nom Tino Piontek ou à l’origine Tino Schmidt, qui revient avec « Honey Boy », son 3e single déjà pour cette année.
Une quadruple collaboration qui fait mouche avec ce qu’on annonce déjà comme l’un des tubes de l’été, à n’en pas douter.
Au chant, Benjamin Ingrosso qu’on a pu voir en invité de la 1e demi-finale de l’Eurovision de cette année, le super show médiatique pour lequel il avait représenté la Suède en 2018.
Ce nom vous dit certainement quelque chose. Effectivement le cousin de Benjamin n’est autre que l’un des membres de la Swedish House Mafia, à savoir Sebastien Ingrosso.
La mélodie de ce titre a été imaginée pour la première fois par Ingrosso après une soirée mémorable à Stockholm.
Benjamin Ingrosso raconte l'histoire de cette création : « J'ai imaginé "Honey Boy" dans une discothèque de Stockholm, emporté par le rythme d'un rythme house qui m'a immédiatement fait fredonner ce qui allait devenir le refrain. Cette mélodie m'a hanté pendant une année entière. Ce n’est que lorsque je me suis retrouvé dans un restaurant chinois, en train de hocher la tête au son d’un morceau disco, que tout a cliqué. Il fallait que ça devienne une chanson disco. La chanson, façonnée par une rencontre mémorable dans la vie nocturne de la ville, est rapidement passée du concept à l'enregistrement en studio. Une fois enregistrée, nous avons tous senti le potentiel de la chanson et qu'il fallait y ajouter des influences plus talentueuses pour qu'elle atteigne son plein potentiel. J'ai contacté Tino (Purple Disco Machine) pour voir s'il voulait le finaliser avec moi, ce qu'il voulait ! Tino a demandé à Nile d'ajouter de la guitare live à la chanson, insufflant au morceau une ambiance disco authentique. Lors de ma tournée européenne, j'ai testé la chanson et "Honey Boy" s'est révélé irrésistible, obligeant tout le monde à danser ».
Le DJ allemand raconte l'histoire de cette collaboration : "Benjamin m'a envoyé le morceau à la fin de l'année dernière et j'ai immédiatement été intrigué par sa mélodie accrocheuse, contagieuse et son ambiance funky. J'avais juste hâte de mettre le titre à niveau et mettre en valeur les sensibilités disco et funk de ce titre".
Le duo fait alors appel à une chanteuse jamaïcaine, Shenseea, artiste montante, pour renforcer la chanson et harmoniser les voix : "La voix de Shenseea convient parfaitement à la chanson et complète vraiment l'incroyable performance vocale de Benjamin" poursuit Purple Disco Machine.
Pour terminer le quatuor, le légendaire guitariste disco funk qui a accompagné les plus grands artistes et tubes de l’époque mais également plus récemment Madonna, les Daft Punk et également Beyoncé : Nile Rodgers (du groupe Chic) et ses riffs de guitares imparables.
« Évidemment, avec un nom d'artiste comme le mien, il est assez facile de deviner que Nile Rodgers est l'un de mes héros de tous les temps et quelqu'un avec qui j'ai toujours rêvé de travailler ! J'ai contacté son équipe et j'étais tellement ravi lorsque ses lignes de guitare sont revenues. Cela correspond parfaitement à ce morceau et je ne pourrais pas être plus fier d'avoir mon nom avec le sien aux crédits artistiques. J'ai juste hâte de le rencontrer ».
Après plus d'un an d'échanges en studio, le voici donc, ce nouveau titre de Purple Disco Machine. Après cette chronique, filez sur YouTube afin de visionner la vidéo réalisée par Alice Fassi, sorte de nouveau « la belle et la bête », elle vaut le détour !