La J-horror, sous-genre du cinéma japonais apparu au milieu du XXème siècle, a toujours entretenu un rapport particulier à l’épouvante et au suspens, bien loin des codes occidentaux souvent plus directs et démonstratifs. Tension psychologique, histoires d’esprits et de fantômes, le japon pioche sans surprise dans son propre folklore pour retranscrire les aléas d’une société en pleine mutation. C’est donc presque sans surprise qu’à l’orée des années 90, l’anxiété comme l’espoir suscités par l’essor des nouvelles technologies voit l’apparition d’une « techno horror » là encore tout spécifique à l’archipel. Quels sont les enjeux et la singularité de sous-sous genre cinématographique, c’est ce que nous allons tenter de comprendre dans ce nouvel épisode.
ÉCRITURE, PRISE DE SON & MIXAGE
-Florent Jourde
GENERIQUE
-Joel Vandroogenbroeck, Computer Groove, Colorsound, 1981
MUSIQUE ADDITIONNELLE & HABILLAGE
-Clock Tower OST, Mystery, ASCII Entertainment, 1996
-Stereolab, Three-Dee Melodie - Transporté sans bouger, Duophonic UHF Disks, 1994
PRODUCTION
-Campus FM Toulouse
ARCHIVES
-Kiyoshi Kurosawa, Kairo, 2001
-Hideo Nakata, Ringu, 1998
-Masaki Kobayashi, Kwaidan, 1964
-Takashi Shimizu, Ju On: The Grudge, 2002
POUR ALLER PLUS LOIN...
-Shinya Tsukamoto, Tetsuo, 1989
-Sion Sono, Suicide Club, 2001
-Takashi Miike, One Missed Call, 2003
-Akashi Shimizu, Marebito, 2004
-Kiyoshi Kurosawa, Kairo, 2001
-Hideo Nakata, Ringu, 1998
Avec le soutien de l'Université de Toulouse et de la Région Occitanie.
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